Mardi 26 janvier 2 26 /01 /Jan 09:48
cel-soumise web

22 janvier

Midi moins le quart, je vais bientôt revoir J. , je suis toute excitée.

Maître m’a demandée de mettre mes élastiques à mes seins, je ne les supportent

pas bien encore mais je dois obéir.

Midi, je me rend au fast-food où l’on a rendez-vous, j’entre et la voit assise

Dans un petit coin tout à fait isolé près des toilettes, je me dirige vers elle.

Elle porte une robe en simili cuir brillante et de hautes bottes noires.

Bonjour ma J. comment vas-tu ?

Assieds toi me répondit elle d’une voix ferme et sans le moindre sourire,

Je m’assied et lui demande ce qu’il y a

N’as-tu pas demandée à être ma chose ? me dit elle, et bien voilà

tu vas en avoir «  la chose » , maintenant tais toi et mange !

Devant moi une petite assiette de salade et un soda.

Il n’y a pas de couvert J. , « tu ne m’appelles plus J. , mais Maîtresse ».

Tu n’as qu’à manger sans couvert « la chose » je regardais autour de moi

Et gênée je me penchais sur mon assiette et me mit à manger comme je pouvais.

Maîtresse je dois vous avouer que j’ai déjà un Maître.

Tais toi et mange ! ça ne me regarde pas que tu en ai déjà un , tu as voulue être

« ma chose » alors j’ai rien à voir avec lui. Je continuais à manger comme je pus,

Je sentais de la mayonnaise sur le bord de ma bouche et sur mon nez.

« La chose » tu manges comme une cochonne vas te laver aux toilettes.

Je n’arrivais pas à croire qu’elle prenait cela au sérieux, elle avait bien cachée son jeu.

Je me rendis donc vers les toilettes, face à l’évier je me frottais le visage, lorsqu’elle entra

Et se plaça derrière moi ses mains remontèrent au dessus de mon top et se placèrent sur mes seins.

Aïe ! une vive douleur me prit, elle avait sans le savoir toucher mes tétons pris dans les élastiques.

Suis moi « la chose » me dit –elle, elle me fit entrer dans une toilettes et la ferma à clef.

Enlève moi ce top et fais voir tes seins , je m’exécutai, et quand elle vît les élastiques me

demanda c’est quoi ça ? Mon Maître voulais que je les mettent en venant te voir, pour rendre

mes tétons sensibles. Je t’ai dit que je me fou de ton Maître, enlève les directement et met toi face au mur. J’entendis la fermeture éclair de sa robe s’ouvrir, elle vint se coller contre moi par derrière et se mit à palper mes seins , humm Maîtresse c’est bon. Tais toi « la chose » ! tu parles quand je te le dis.

Comment elle avait changée J. je ne la connaissais pas comme ça.

Tu es là pour mon plaisir uniquement « la chose », avoue que tu aimes d’être au dessus des wc

Tu aimes ça hein , la puanteur, tu dois être habituée n’est ce pas cochonne !

Oui Maîtresse .

Tournes toi et approches ta bouche, elle prit mes cheveux et serra très fort afin d’approcher mon visage du sien et elle se mit à me rouler une pelle , sa langue me fouilla la bouche je sentais la chaleur monter. J’entrepris de lui ôter sa robe et là une gifle cingla sur ma joue, « qui t’as permis  « la chose » ?

Je voulais juste vous faire du bien Maîtresse, lui dis je, la larme à l’œil, elle vît qu’elle m’avait faite mal .

C’est bon vas y , fais moi du bien , j’ôtais sa robe, me mis à caresser et lécher ses seins, lui mordiller les tétons Humm. Pendant que je lui ôtais son string sa main passa sur mon visage pour ôter les larmes qui coulaient.

Ce n’est pas grave « ma chose » maintenant tu sais à qui tu dois obéir.

Elle s’assis sur la cuvette et me dit, maintenant tu vas venir me lécher la chatte jusqu'à ce que je jouisse.

Maîtresse cela ne sent pas très bon ici lui répondis-je, Tu en veux encore une ? alors obéis !

Je m’agenouilla et alors que ses jambes étaient tendues en appui sur le mur, elle m’offrit sa chatte bien dégagée.

Je me mis à la lécher, jouer avec son clito elle mouilla déjà, ma langue ratissa de plus en plus sa chatte épilée. Elle se mis à tortiller le cul lorsqu’un doigt passa sur son anus. Je l’entendais gémir, Oui c’est bon « ma chose »

Tu es une brave « chose » continue et je te récompenserai.

L’odeur m’incommodait vraiment mais je continuais inlassablement à lui chatouiller le clito , elle gémit de plus en plus, j’entendais sa respiration s’accélérer, les ooh oui c’est bon et les continue ne s’arrêtaient plus, lorsque tout à coup, elle se redressa et empoigna mes cheveux pour bien coller ma langue contre son sexe trempé je sentis les spasmes la secouer , elle jouissait ! mmh quel plaisir, elle me releva et nous nous embrassâmes à nouveau fougueusement.

Rhabillons nous me dit elle, nous sortons de la toilette sous le regard d’une femme qui se lavait les mains, nous avions bien remarquer son petit sourire.

Nous sommes retournées nous asseoir et alors que nous finissions notre soda, je lui dit

Et bien ! on a encore une fois passées un super moment J. !

Elle me répondit, tu n’as pas bien compris ou quoi ? tu m’appelles Maîtresse, c’est fini les J.

Tu l’as voulue et bien tu l’as ! Je suis Ta Maîtresse ! Et tu es Ma Chose !

Elle n’avait pas tord c’est moi ou plutôt mon Maître qui l’avions voulu.

Nous nous quittâmes sur un doux baiser.

Je voulais quand même très vite la revoir.


sOumise celia

 


 

Par Mc son Maitre
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Mercredi 20 janvier 3 20 /01 /Jan 09:14

celia-bainJeudi 14-01-2010

16.00 heures

Alors que j’étais nue sous ma longue robe noire moulante, car Maître m’avait ordonnée de laisser mes sous vêtements dans le tiroir de mon bureau, je prenais le chemin de la maison , lorsque repensant à ma lecture du midi (j’ai acheté un livre cochon d’Esparbec) je me sentais toute chose et décidais de passer au parking des camionneurs en me disant qu’il n’y aurais surement personne a cette heure.

Arrivée sur place, effectivement à peine deux camions stationnés. N’étant pas pressée, je me gare le long d’une allée de buissons, et je me mets à lire la suite du livre, très vite les mots de l’auteur m’excite et ma main se met à caresser ma chatte, se trainant sur mon clito.

Après quelques chapitres, j’étais maintenant totalement excitée, et j’entendais tout à coup du bruit au dehors , je n’avais pas regardée , mais plusieurs camions étaient arrivés entre temps. Comment leur faire remarquer ma présence une idée me traversa l’esprit.

Je sortis de la voiture relevai le capot moteur avec une bouteille d’eau à mes cotés.

Alors que je me penchais exagérément sur le moteur , j’entendis une voix me dire un problème m’dame ?

Heu, oui je ne trouve pas où mettre l’eau pour les essuies glaces .

- Attendez je vais vous arranger ça, me dit il, il avait surement du remarquer que je ne portais pas de culotte vu le moulant de ma robe, et son petit sourire en coin, il n’était pas mal, bien baraqué.

- Voilà c’est fait ma p’tite dame, je le remerciait et il s’en retourna à son camion.

Je remontai dans la voiture, en sachant que j’avais attiré son attention et la vitre au trois quart ouvert je repris ma lecture en prenant soin de remonter ma robe à mi-cuisses. Ma main caressait à nouveau ma chatte et j’étais excitée plus qu’il n’en fallait. Lorsque je relevais la tête je vis trois queues en train de s’astiquer devant moi. Comment résister, j’entendis un homme dire aux autres, c’est la salope de l’autre soir, vous verrez comme elle est bonne.

Je décidais de m’avancer vers elles je me mis à quatre pattes et je reconnus effectivement un des routier de l’autre soir, je lui souris, puis, pris sa queue en bouche et me mis à le sucer tout en prenant les deux autres en main et en les malaxant du mieux que je pu.

Tour à tour ils passèrent dans ma bouche se durcissant de plus en plus tout à coup leurs mains passèrent par la fenêtre et se mirent à peloter mes seins en pinçant mes tétons bien durs.

On pourra te baiser me demandèrent ils, « non  répondis je mais vous pourrez vous vider les couilles sur moi », ils baissèrent ma robe afin de bien voir mes seins.

Tout à coup n’ayant rien entendu je sentis une main me caressant la chatte, un quatrième homme nous avaient rejoint et étais passé coté conducteur il avait mon cul en plaine face, je continuais à pomper les queues bien fort passant de l’une à l’autre j’étais toute en chaleur, l’autre me pinçait le clito avec 2 doigts dans la chatte faisait des vas et viens. « Mmmhh continuez les mecs vous êtes trop bons ».

Derrière moi alors qu’il avait toujours deux doigts dans ma chatte il me cracha sur les fesses et fit glisser sa salive sur mon cul , non lui dis-je ! allons tu verras comme c’est bon, et d’un coup il pénétra un doigt dans mon anus. Oh ! les vas et viens dans ma chatte et mon cul , les queues dans mes mains et en bouche je ne tenais plus , je m’assis sur le siège la robe baissée et leurs dit « allez les gars c’est le moment , envoyez moi votre foutre bien chaud » , ma robe à mes pieds, ils se mirent à se branler pendant que je prenais leurs couilles en main , un à gauche, trois à droite, de plus en plus vite, ils s’exécutaient.

Et d’un jet commun comme si ils avaient répétés d’avance ils explosèrent tous les trois en même temps sur mes seins, ma chatte, mon ventre, ma figure , il y en avait partout, à les salauds il s’étaient retenus pendant quelques jours. Je les entendis dire « alors salope ca t’as plu ? je vous avait dit qu’elle était bonne ! oui c’est vrai disait un autre ! oui une vraie salope ! disait le dernier ».

« Bon nous on y va , à plus la salope dit le dernier » en se retournant vers son bahut. Et ils me laissèrent là, nue, salie, mais remplie de bonheur, car ils avaient réussis à me faire jouir les salauds.

Un petit coup de serviette, je remonte ma robe, démarre et me dit que la vie est belle et bonne et qu’il faut profiter de tous les moments de plaisirs.

Merci les routiers.

Merci Maître



Par Mc
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Mercredi 20 janvier 3 20 /01 /Jan 08:16
celia-bain2

Mercredi 13/01/2010


Ma journée fût tranquille aujourd’hui au travail, j’ai eue la chance de pouvoir beaucoup communiquer avec Maître,  je pense qu’au fil des jours il me connaît de mieux en mieux, et j’essaie toujours de lui obéir car je suis sa chose.

Il m’a ordonnée ce soir de me faire prendre par derrière, j’ai déjà pu constater que Maître aime que je me fasse enculer, ce n’est pas ce que je préfère mais je dois obéir, pour être une bonne soumise.


En rentrant à la maison, après les obligations maternelles et conjugales et pendant que mon homme regardait la télé, je décidai de me délasser dans un bon bain bien mousseux.


La mousse me caressant les tétons, ils se mirent à durcir, j’avais les yeux fermés et repensais à mes conversations avec Maître, je me mis à me caresser, mais je repensai à ses ordres bien vite, pas de jouissance personnelle.


Je me devais de préparer mon anus afin que mon homme n’ait pas à le faire.

Je commençais donc à glisser mes doigts vers celui-ci j’écartais mes jambes les posant sur le bord de la baignoire, bien ouvertes, Maître aime que mes jambes soient bien écartées toujours prête à une caresse.

Un doigt pénétra puis un deuxième je me mis à me branler le fion de plus en plus fort, en tournant mes doigts, il n’était pas loin d’être prêt, je décidai de changer de position et me mis à genoux passant mon bras entre mes cuisses humm que c’était bon…

Je me sentais prête.

 

Je criais à mon mari qu'il devait monter se coucher et me dit qu’il arrivait.

Je m’essuyai en quatrième vitesse et alla me placer sur le bord du lit à quatre pattes     comme une chienne offerte, je l’entendis monter les escaliers, et écartais mes fesses avec mes mains montrant ma rose bien ouverte.

 

Il entra et quelle ne fut pas sa surprise de me voir ainsi, il comprit tout de suite et me dit ’’ Toi t’aurais une envie que je t’encule que ça ne m’étonnerait pas ’’ et sans hésiter il se mis face à moi afin que je le suce pendant qu’il m’astiquait le cul avec ses doigts, mes mains écartant toujours mes fesses, sa queue grossit très vite, il se plaça derrière moi et me pénétra d’un coup sec.

‘’ tiens  salope c’est ca que tu veux hein ! de la bite dans le cul ‘’

Oui c’est ça que je veux ‘’ en même temps je pensais à Maître ‘’

Il me défonça le cul si fort que j’en eu mal après, mais au moment même, que c’était bon ! il allait et venait sans s’arrêter des coups de boutoir brusque et profond, je sentais ses couilles frapper ma chatte.

Et dans un dernier va et viens il se mit à gémir et s’ensuivit un ‘’aarrgghhh ‘’ bien fort au moment même ou il explosa son foutre chaud dans mes entrailles,

puis sur mon dos. Je me retournai et après un bref regard dans ses yeux je me mis à le pomper afin que plus une goutte ne reste sur sa queue bien dure.

Allez au lit maintenant me dit-il ! dure journée demain.

Il ne cru pas si bien dire, s’il avait été au courant de ce que Maître m’a ordonnée pour     ce jeudi, il n’en reviendrait pas.

Et c’est après un bref passage à la salle de bain que me plongeai repue dans les bras de Morphée «  le cul en feu il est vrai.


Merci Maître

Par Mc
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Lundi 11 janvier 1 11 /01 /Jan 08:21
cel-cul_web.jpg

Vendredi en rentrant à la maison, je repensai au déjeuner avec J.

j’ en était encore toute excitée, elle est vraiment trop excitante

avec  ses seins lourds et sa chatte rasée, alors que je roulais je décidais de

m’arrêter quelques minutes sur un parking qui se présentait à moi.

Je me garais et coupai le moteur, je me tournai un peu et mis une jambe légèrement relevée sur le siège passager. J’allume la lumière et machinalement je prend une revue qui traîne parterre.

Alors que je la regarde sans la voir, mes yeux se ferment, je repense à J

Ma main passe sous mon chemisier et je me durci un téton, humm

J’ai envie de la revoir, de jouir avec elle, ma main descend sous ma jupe,

Je n’ai pas de string, je me caresse, j’insiste sur mon clito, c’est bon

Je crois qu’en me laissant encore un peu aller je vais jouir, j’ai chaud

Et décide d’ouvrir un peu la fenêtre, en ouvrant les yeux je suis surprise de voir 3 hommes en train de se masturber devant la vitre. Je n’avais pas réalisée que j’étais sur un parking de camionneurs. Ils tenaient bien leurs

bites en main, alors que moi je pensait à J. eux avaient surement passer une sale journée sur les routes, je leur souris et décide de refermer les yeux et de continuer ma masturbation, je leur dis juste alors que la fenêtre est ouverte, qu’ils peuvent juste regarder. Mon clito tout dur, je repasse ma main sur les seins je me triture les tétons ils sont tout durs, je les entends pousser des gémissements et dire "elle est bonne cette grosse salope", mon chemisier est ouvert, je me tourne, je suis trempée, j’ouvre les yeux et une bite se présente juste à coté de ma bouche, je suis tentée et la prend en bouche, alors que je fais des vas et viens sur son chibre, il y en a un qui joui sur ma voiture, je le branle pour bien le vider, je continue à sucer l’homme, je me caresse toujours, mmh c’est bon , mon chemisier est complétement ouvert maintenant, je sens l’homme arriver, je me tourne et me couche, sa queue est au dessus de ma tête, je me caresse , il se branle et dans un grand râle se met à jouir de tout son cœur sur moi, mes seins en sont remplis et il y a même des coulées sur mon visage. Oooh J., si tu avais été là tu en aurais pris plein aussi. Je me retournais vers l’homme qui me remercia et en le suçant une dernière fois je lui répondis que le plaisir avait été pour moi.

Alors que je m’essuyai et me rhabillai, je pensais à mon Maître, qu’allait il dire en sachant ce que j’ai faite, allait il me punir ? Je ne savais pas, ne pas lui dire ? Non je ne peux rien lui cacher.

Ca ne fait rien j’assume, si cela déplait à Maître il me punira, si c’est le contraire il me récompensera.   Merci pour cette journée J. 

sOumise celia

Par sOumise celia
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Dimanche 10 janvier 7 10 /01 /Jan 10:56
suivant ordres webpour la rue web

Pour mon Maître

 















Il est midi, plus qu’une heure avant mon déjeuner avec J,

je suis excitée à l’idée de la revoir.

Je vais aux toilettes et je me caresse le clito

en ayant les yeux fermés, je pense à elle.

Je place les 2 élastiques à mes tétons comme vous me l’avez exigé Maître.

J’ai pu obtenir une demi heure supplémentaire pour mon déjeuner.

12.45 h. je retourne aux toilettes ôter les élastiques,

mes tétons sont sensibles, je me change.

Et m’en vais au rendez vous.

Arrivée au restaurant, j’entre et la vois assise à une table dans un petit coin intime.

Elle se lève et nous nous embrassons comme si

nous ne nous étions plus vue depuis des années.

Ma bouche va sur la sienne, comment vas tu ma belle lui dis je ?

Bien et toi ? tu es super belle

Me dit elle, allons  n’exagère pas lui dis-je, si j’adore ta tenue,

un peu sexy pour le resto. non ? Ca ne me gêne pas.

Alors que nous passions commande, nous parlions de tout et de rien,

j’étais assise les jambes écartées comme toujours.

Elle portait une jupe avec des bottes et un chemisier bleu pâle,

je devinais un soutien supportant ses gros seins lourds.

Pendant que nous mangions notre pizza ma jambe frottait la sienne,

elle me regarde, me sourit et se laisse faire sans rien dire,

alors que je grignote d’une main je me met à caresser mon clito,

l’accès est facile puisque je n’ai pas mis de string.

Hum un petit gémissement sors de ma bouche, je suis excitée,

elle me regarde et me demande si ça va ?

Oui très bien lui répondis-je.

Nous avions finies nos assiettes et en me levant je lui dis

dans son oreille de me rejoindre.

Je me dirige vers les toilettes, attend quelques instants et elle arriva.

Elle me dis qu’y a t il ? Rien juste que … j’ai très envie de toi et

là je l’embrasse a pleine bouche, elle se laisse faire puis me dis arrête si on nous voit.

Je lui dis je m’en fou je connais personne ici.

Nous sommes entrées dans une toilette et là, alors que je déboutonnais son chemisier

elle m’embrassa à nouveau et sa main alla vers ma chatte,

elle me dit, mais tu es mouillée, oui tellement j’avais envie de toi.

Je pris ses seins en main, puis en bouche,lui mordillait les tétons.

Elle continuait de me fouiller la chatte, je m’assis elle se mit a genoux et me lécha

hummm  c’était trop bon.

Nous nous relevions les joues rouges, nous refîmes une beauté et

retournions dans la salle, sous le regard de quelques clients qui

s’étaient aperçus de notre disparition.

Nous prenions un petit dessert, je lui demandais si elle avait aimée,

elle me dis que oui beaucoup et toi ? Evidemment lui répondis-je.

Puis je me lançais.

 

J.., j’ai quelque chose à te demander. Quoi ? me demanda t elle.

Accepterais tu que je sois ta chose, que tu me demandes

ce que tu veux et que je devrais le faire.

Elle me répondit que j’étais folle, je lui dis que j’en avait très envie.

Elle me dit si tu veux ( a mon avis elle n’avait pas tout à fait compris ma demande)

Je fis semblant de rien et lui dis que j’étais super contente qu’elle accepte.

(Je ne lui ai jamais parlée de mon  Maître).

 

Il était hélas déjà temps de nous quitter,

et c’est derrière le coin de la rue que nous nous sommes à nouveau

goulûment embrassées avant de nous séparer.

Mais je suis sûre que nous nous reverrons très bientôt.

 

Et dire qu’il fallait retourner travailler après cela, j’étais encore toute excitée.

 

sOumise celia

Par Mc
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