Vous aimez ça aussi ? Dites le moi !
Vous aimez ça aussi ? Dites le moi !
Il m'avais imposée ma tenue vestimentaire, c'est ainsi qu'il me vit
assise dans ce café dégustant un kir, sur mes hauts talons rouge, les lanières de cuir serrant mes mollets, mes bas couleur chaire visible jusqu'au niveau du porte jarretelle en dentelle rouge,
mes jambes légèrement écartée laissant deviner mon pubis (d'ailleurs il y avait là deux hommes qui ne cessaient de regarder dans cette direction, ma robe noire fendue jusqu'à la taille
ne cachait rien du tout, à sa demande je ne portais pas de soutien gorge et mon décolleté laissait déborder mes seins dans ce fourreau qui me colle à la peau, je me suis un peu trop
maquillée, c'est voulu, je veux le provoquer.
L'un des hommes se dirige vers moi, cela ne m'étonne même pas, puisque je réponds à ses sourires depuis dix minutes, par contre sa question me laisse sans voix "Combien pour mon
ami et moi ?" je ne m'attendais pas à ce qu'il me prenne pour une pute, il m'observe depuis sa voiture car il savait que je serais à l'avance à notre rendez-vous pour
prendre la température de l'endroit de notre rendez-vous, j'ai été choquée par le côté café de village, juste quelques poivrots au bar plus ces deux
hommes ....
Il entre et me surprend avec ce monsieur qui attend ma réponse, il répond à ma place "pas aujourd'hui monsieur, mais certainement une autre fois", il m'invite à finir mon verre et nous
quittons ce café un peu crade...
Dans la voiture, il me demande d'ouvrir les jambes et de placer le plug gonflable dans mon vagin, il prend la poire et commence à le gonfler jusqu'au moment où je trouve la douleur
trop forte, il me tend la commande du vibrant et je commence les vibrations, pour commencer doucement et puis de plus en plus fort, il me tend un œuf vibrant que je place
directement contre mon clito, une douce chaleur monte en moi pour ce transformer en un orgasme fulgurant, je me trémousse tellement que mes seins sont maintenant complètement sortis
de mon décolleté, lorsque il s'arrête à un feu rouge, les piétons me regarde médusés, je ne les vois pas, j'ai fermé les yeux trop occupée par la jouissance qui est en toi, il
me ramène à la réalité et je regarde aussi médusée que les piétons mes seins, ils sont merveilleux ainsi exposés, les tétons durs sont une invitation à la tétée, il s'arrête quelque
cent mètre plus loin et se charge de faire monter à nouveau le plaisir en moi par les tétons....
Nous arrivons enfin à notre destination finale, c'est une usine désaffectée depuis peu, les bureaux sont toujours en partie équipé du matériel trop vétuste que pour être vendu, il me conduit au
premier étage où une porte est fermée à clef, il a la clef, il ouvre la porte et là je reste sans voix, médusée de voir un tel spectacle, une potence, des poulies qui descendent du
plafond, des chaînes tendues entre deux poutrelles, une chaise sans fond, un lit couvert de chaîne tendues en damier....
il m'invite à enlever ma robe, doucement pour découvrir chaque partie de mon corps (j'aime faire durer ce moment de strip-tease) je tremble, c'est normal, je ne sais pas ce qui
m'attend, il me prend par le bras et me conduit sur le lit, il me couche fasse contre le matelas, il place un corset de cuir autour de ma taille et commence à serrer les sangles
pour qu'il épouse parfaitement mon corps, ensuite il attache les avants bras et les mollets aux chaînes, il laisse descendre une poulie qu'il fixe au corset, je sens mes fesses monter
vers le plafond, maintenant je suis presque suspendue les jambes et les bras écartés, imaginez sur les coudes et les genoux mais le tout écartelée sans possibilité de bouger le derrière offert
par les deux trous et la bouche de même, il place cet appareil infernal qui va me laminer le vagin, mais en plus il est vibrant (j'aime tout ce qui apporte d'autre
sensation), il fixe le dispositif monté sur rotule ( juste pour que je puisse ajuster l'endroit que je veux atteindre), il le lubrifie avec du baume du tigre et il
démarre doucement, le va et viens me convient, il ajuste un temps faire ce peu le mouvement, je sens la chaleur envahir mon vagin et très vite un premier orgasme inonde au
propre comme au figuré l'essuie que il a placé sous moi ...
L'appareil infernal continue son œuvre et là soudain il se place devant ma figure et m'impose de le sucer jusqu'à sa jouissance, il me dit qu'il n'arrêtera l'appareil que
lorsqu'il aura jouis dans ma bouche et que j'aurai avalé tout son sperme ( il me dit "sais-tu que le sperme à différente saveur suivant ce que tu as mangé les heures
précédentes").....
Un nouvelle orgasme me secoue car mon imagination est sans limite, prise entre deux sexe l'un vrai l'autre vibrant; je me demande lequel des deux a ma préférence, et là mon délire joue pour les
deux, ce qui me procure un plaisir nouveau, inconnu mais très agréable, la machine contre l'homme....
Il arrête cette machine infernale, ce qui est étrange, c'est que je n'ai pas senti la présence d'autres personnes, tant j'étais excitée par ce que je venais de vivre et pourtant,
c'est sans commune mesure avec ce que je vais vivre ...
Toujours dans cette position inconfortable voici venir une femme qui aime jouer du plaisir que je vais à nouveau ressentir, elle, elle connais mon corps et sait là ou il faut aller
pour me titiller et faire monter en moi le plaisir sans pour autant me permettre de me dépasser dans l'orgasme, mais son jeu en vaut la chandelle (mais ça nous y viendrons plus tard), elle
me pousse dans mes retranchement, j'en devient chèvre, plus rien n'a d'importance que l'orgasme, je le cherche sans pouvoir l'atteindre, lorsque il voit que je suis à la limite de
la crise, il me soulage avec un œuf ....
Maintenant me voici en train de récupérer, je suis enfin libre de mes mouvements et c'est de manière spontanée qu'il me propose des jeux de suspension, de cravache et de cire, c'est pour moi
maintenant devenu évident, je veux aller plus loin ....
il me propose dans un premier temps la potence, celle-là même qui permet l'auto masturbation par les mouvements des bras sur les poulies qui sont elles-mêmes reliées à un gode qui monte et
descend dans le vagin, donc me voici jambes ouvertes avec un gode dans le vagin relié à mes poignets, plus je tire sur mes bras plus le gode me pénètre et en ça il va m'aider avec
l'usage de la cravache, pour éviter les coups, je suis obligée de tirer sur mes bras, mais ce serai trop simple, il place un bandeau et un bâillon (le bâillon : c'est son plaisir)
avec le bandeau je ne verrai plus la cravache s'abattre sur moi et la sensation de plaisir douleur n'en sera qu'augmentée, il arrête la cravache pour prendre la bougie qui se trouve à ses
côtés, à chaque goute qui tombe sur mes tétons je tire sur mes poignets et le gode me pénètre plus en profondeur, heureusement, il a fixé une limite sans quoi je m'empalerai
sans limite ....
Je jouis de tout ces sensations nouvelles pour moi et voici que je m'éveille dans un orgasme comme jamais je n'en avais eu, oh ce rêve, je veux l'expérimenter un jour, c'était vraiment
trop agréable ......
C'est la nuit sur la nationale, nous rentrons d'un dîner bien arrosé et il est assez tard. J’ai abaissée légèrement mon dossier, je me laisse envahir par la douce chaleur de la nuit.
Comme d'habitude lorsque nous sommes en voiture mon mari a une main sur le volant et l'autre posée sur ma cuisse. Il joue avec le tissu fluide de ma jupe, me caressant juste au-dessus des bas. Il ne roule pas trop vite et les phares accrochent l'image d'un jeune homme qui fait du stop loin devant. J'ai envie de m'amuser, je le dis à mon mari qui me réponds « si tu veux ma chérie ». Je dis à mon mari de ralentir pour nous laisser le temps de décider de ce que je vais faire, et surtout de voir à qui nous avons à faire. Nous dépassons le jeune homme et il s'arrête deux cents mètres plus loin. Le temps qu'il arrive jusqu'à nous et mon plan est en place. Je fais monter le jeune homme à l'arrière. Il s'installe entre les deux sièges et se penche pour bavarder avec nous, tandis que nous repartons. Son regard se pose immédiatement sur mes cuisses qui sont découvertes pour une bonne part. Nous engageons la conversation. Mon mari s’arrange pour faire dévier la conversation sur les femmes. Notre passager ne doit pas avoir plus de vingt deux ans. Je lui demande s'il a une petite amie et devant sa réponse négative je poursuis mes questions indiscrètes. La route que nous empruntons a été refaite et de nombreuses aires de repos y ont été aménagées. La première que nous trouvons est déserte, Mon homme gare le véhicule. Je me retourne et lui demande s'il aime les femmes qui portent des dessous sexy.
Il ne répond pas. J’enchaîne: "Je suis certaine que tu n'en as jamais vu, regarde." je tire sur le bas de ma jupe, faisant apparaître mes genoux. Le jeune homme semble hypnotisé. Je prends sa main et la pose sur ma cuisse; "Touche moi, tu vas voir, c'est doux." L'atmosphère se fait plus lourde dans le véhicule lorsque je remonte de nouveau ma jupe. Je tire doucement le tissu vers le haut, découvrant cette fois mes cuisses, puis le haut de mes bas tenus par des jarretelles noires, la peau nue au-dessus et tout au fond, drapé de dentelle également noire, mon entre - cuisses. Me soulevant, je passe les mains dans mon dos, défait la fermeture éclair de ma jupe et la fait descendre à mes pieds. Une fois assise je dégage mes pieds du tissu et les reposent en écartant largement les cuisses. Le jeune homme semble fasciné par ce qu'il voit et je le comprends, car je vois le même effet se produire chez mon homme. J'imagine sa stupeur et son excitation devant cette femme en tailleur chic, qui se trousse pour lui dévoiler des trésors de dentelle. Il ne sait pas ce qu'il doit faire. Je m'écarte avec complaisance. Mon mari l'encourage; "Caresse la, elle n'attend que ça." Il hésite, puis se décide. Sa main remonte le long de la jambe, s'attarde sur le revers des bas et passe sur la peau en jouant avec la jarretelle qui y est fixée. Je m'écarte d'avantage tant que possible. Il prend cela comme une invitation à aller plus loin et pose enfin sa main entre les cuisses de la délicieuse cochonne que je suis. Je sais que mon homme bande en voyant cette main se promener sur la dentelle qui couvre à peine mon minou. Je suis excitée. Je porte la main à ma veste de tailleur. Dessous, je porte un chemisier que je me hâte d'ouvrir, faisant jaillir ma poitrine. Je pense que l’alcool de la soirée fait son effet. Comme mon homme m’a demandée avant de quitter notre domicile, je porte un soutien-gorge en dentelle noire, assorti à son serre-taille et à mon string. La main du jeune homme me masse toujours le minou par dessus la dentelle. Je sens qu’il va falloir tout lui dire. Sur mon conseil, il pose sa main sur la peau libre entre mon serre-taille et mon string. Il introduit ses doigts sous l'élastique et reste là un instant, comme si tout cela était trop fort pour lui. J'aime sentir cette main tendre le tissu, cela excite mon mari de regarder un étranger fouiller dans la petite culotte de sa salope de femme. C'est le silence dans la voiture, personne ne parle. A partir de cet endroit mon mari a tenu à continuer le récit ! Célia s'offre à nos regards, à part son chemisier complètement ouvert elle ne porte plus que les sous-vêtements que je lui ai choisis avant de partir. J'ai pris un soutien-gorge dont les bonnets sont brodés d'une fine dentelle. Ils laissent les auréoles et la pointe des seins parfaitement visibles et nous permettent en ce moment de voir que les seins de Célia bandaient. Pour tenir ses bas, j'ai choisi un large serre-taille à l'ancienne. Il est en tissu épais recouvert de dentelle et est fortement baleiné. Ce qui me plaît, c'est qu'il descend presque au ras de son bas ventre et que les jarretelles larges et épaisses sont terminées par des pinces en fer, comme cela se faisait autrefois. En fait, il faudrait presque que Célia le porte sans culotte mais ce jour là j'ai voulu lui en faire porter une. Elle est noire, très légère et si fine qu'elle me procure le plaisir de pouvoir observer la main de notre auto-stoppeur. Sur mes conseils il lui taquine le clitoris d'un doigt avant de le plonger dans son vagin. Je lui indique qu'il doit le lui mettre le plus profond possible. Il lui masse la chatte à pleines mains, joue avec sa fente avant de lui mettre un doigt dedans et de le faire tourner à l'intérieur. Célia se masse les seins en gémissant. Le jeune homme a le souffle court et moi je bande comme un fou. Nous sommes tombés sur un quasi puceau à qui nous allons faire vivre une expérience qu'il n'est pas prêt d'oublier. Je demande à Célia de sortir. Elle est vite rejointe par notre puceau tout émoustillé. Je me mets de coté et regarde la scène. Célia se colle à lui, il la prend dans ses bras et l'embrasse. Ses mains se posent sur son corsage, pressant ses seins, elles courent le long du corps offert. Je regarde ma femme qui est debout en petite culotte, bas, talons haut et serre-taille, se faire peloter les cuisses et surtout les fesses à travers son slip. La petite culotte portée par Célia n'est pas un obstacle sérieux. La main quitte ses fesses pour se poser sur sa chatte, qu'elle flatte à travers le tissu. Célia tends son ventre et il ne se fait pas prier pour lui masser de nouveau le minou. Ma jolie coquine est trop excitée pour laisser son partenaire goûter de nouveau le plaisir qu'il y a à enfouir sa main dans une petite culotte de dentelle pour aller à la rencontre d'un minou tout chaud. Elle se déculotte en tirant son cache sexe sur ses genoux, puis posant ses fesses sur le capot, elle relève ses jambes et s'en débarrasse définitivement. Quelle belle garce mais elle sait que j’aime ça. Je suis aux anges. La lune qui brille me renvoie l'image de ma femme ouverte, ses cuisses sont remontées, La position de Célia fait bâiller sa chatte d'une manière assez obscène. Mais ce n'est pas suffisant, il faut aller plus loin. Elle sait ce qui me plaît et est prête à se montrer à la hauteur. Elle pose sa main sur sa vulve et tire de chaque coté sur les lèvres. Malgré la pénombre, je vois sa fente s'ouvrir et notre ami qui est en face d'elle doit même voir son trou palpiter d'envie. Il semble passablement excité lui aussi et cela lui fait prendre des initiatives. (enfin !) Il lui enfonce un doigt dans le vagin, puis un deuxième, auquel il ne tarde pas à joindre un troisième. Je me dis que si cela continue il va m'offrir la vision inédite d'une main disparaissant dans le sexe de ma femme. mais il s'arrête là. Je regarde ces doigts aller et venir au creux de cette chair que je connais bien et je songe que lui introduire une main ne serait pas une mauvaise idée. Je trouve cela assez bandant comme pensée et me promets de mettre cette petite fantaisie au programme d'une de nos prochaines parties de jambes en l'air. Notre jeune homme lui ramone le fondement des ses doigts. Célia râle doucement. Je regarde ces doigts qui entrent et sortent du con distendu de mon épouse. La cadence s'accélère, ma tendre salope mouille tellement que chaque pénétration produit le bruit, difficile à décrire mais facilement identifiable, d'une chatte bien trempée. Elle porte de nouveau ses mains entre ses cuisses et se titille le clitoris après l'avoir fait jaillir de sa cachette. Elle se met à crier sa jouissance. Elle tombe à genoux devant son bourreau, fouille fébrilement dans sa braguette, et extirpe un engin de longueur moyenne mais assez trapu. Elle contemple cette belle bite qu'elle va avoir le plaisir de sucer. Elle sort sa langue et, en me regardant, lèche vicieusement la hampe de haut en bas.
Elle sait que j'aime la voir faire et elle fait tout pour m'exciter. Elle met sa bouche sur le gland. Je vois avec plaisir le membre glisser entre ses lèvres qui s'ouvrent au fur et à mesure. Célia à la bouche bien remplie, elle a englouti sa queue jusqu'à la racine. Notre ami est aux anges. Se faire sucer par une belle salope comme Célia est une aubaine pour lui. Il se laisse faire J'adore prendre ma femme debout par derrière. Je tire sur ses hanches pour la relever en maintenant sa tête et je m'introduis en elle, tandis qu'elle continue de pomper notre jeune ami. Je la connais bien et je sais qu'elle aime se faire limer pendant qu'elle suce une queue. En général cela décuple son ardeur à pomper et rend son orgasme plus fort et surtout plus rapide. Son con est vraiment accueillant, je la pistonne doucement tout en la regardant. Je me penche pour mieux voir sa bouche aller et venir, elle est vraiment belle lorsqu'elle suce. Surtout lorsque sa poitrine bouge au rythme de mes coups de queue. Mon ventre claque contre ses fesses, la projetant contre le pubis de celui à qui elle fait un pompier magistral. Le jeune homme a les yeux fermés. Moi, je les garde ouverts pour mieux mater. Je me retire presque entièrement, puis je m'enfonce d'un seul coup, à chaque fois elle avale la totalité du pieu qu'elle suce et ses seins se balancent plus fort. Elle n'est plus qu'un objet de plaisir et elle aime ça. Je passe ma main sur son ventre. J'aime sentir la dentelle de son porte-jarretelles sous ma paume. Je la caresse doucement par-dessus, puis je descends vers son triangle, dont je sens l’absence de poils, avant de continuer ma progression vers son clitoris, que j'extirpe de sa gangue avant de le titiller doucement. Célia râle doucement et je dois faire attention si je ne veux pas qu'elle jouisse trop vite. Je m'immobilise en elle tandis que j'arrête de traquer son bouton d'amour. Ma main gauche reste sur sa chatte de salope, tandis que l'autre se pose sur son dos. Je sens qu'elle est à l'écoute de son corps, qu'elle attend de savoir ce que je vais faire. Mais elle continue de lécher notre ami, tout en prenant garde, elle aussi, qu'il ne gicle pas trop vite. J'appuie sur son dos pour bien la cambrer, effleurant avec plaisir la dentelle recouvrant son serre-taille. Après avoir goûté un instant la vision de cette chute de rein, délicieusement mise en valeur par la large barrière de dentelle noire, je tire dessus et me cale bien à fond dans son vagin. Ma main quitte son dos, ce corset nouvelle mode est fermé par de nombreuses agrafes conduisant directement mon pouce fureteur jusqu'à sa raie, dont la naissance est masquée par la dentelle. Célia cesse tout mouvement, elle sait ce que je vais faire et attends avec impatience et bonheur. Je faits glisser mon doigt, en appuyant pour le faire passer entre ses fesses qui se séparent, pour m'offrir le libre accès à son petit trou du cul. Il est bistré et tout plissé. C'est un véritable appel à la sodomie et, bien entendu, je n'y résiste pas. Mon pouce se pose sur sa rondelle. Elle est tendre et ma petite femme tend tellement ses fesses à la rencontre de mon doigt qu'elle a tendance à s'ouvrir légèrement. Je pousse et mon doigt entre petit à petit dans son anus. L'anneau me serre le doigt, tendis que je le lui vrille au fond des boyaux. Je le retire avec précaution et lenteur rien que pour avoir la joie de voir son trou du cul se retrousser et ressortir avec mon doigt. Je reprends mes mouvements avec précaution, mon pouce entre et sort au rythme de ma queue, tandis que ma main droite lui presse la chatte trempée et traque son clitoris. Je n'ai pas besoin de la ramoner comme un sauvage, je sais qu'elle va avoir un orgasme fulgurant. Je ferme les yeux et me concentre pour retarder ma jouissance, mais l'image de Célia reste gravée en moi et continue de porter mes nerfs à vif. Emportés les uns et les autres par notre plaisir nous ne tardons pas à atteindre l'orgasme. Je parviens à me retirer au dernier moment, pour avoir le plaisir de gicler sur les fesses de Célia, qui libérée a le temps de se redresser pour que notre auto-stoppeur lui poisse les seins de son jus.
Je récupère la petite culotte de Célia qui traîne sur le capot moteur, lui essuie la chatte et les fesses avec avant de la lui passer. Une fois que Célia s'est épongée les seins avec, je récupère le morceau de tissu roulé en boule et le mets dans ma poche. Ma belle petite vicieuse qui vient de se faire éclater le con et les amygdales restera cul nu sous sa jupe durant le reste du trajet. Je me sens en forme et il se pourrait que l'on vive d'autres aventures avant d'être arrivés à la maison. Nous déposons l'inconnu à l'endroit prévu, non sans lui avoir fait cadeau de la petite culotte de dentelle noire de Célia qui est encore toute humide et odorante de mon sperme et du sien mêlé à la cyprine de sa propriétaire pour qu'il se souvienne de nous. Ce n'est qu'après l'avoir quitté que nous, nous rendrons compte que nous ne lui avons même pas demandé son prénom.
Célia reprend ! Mais quelle importance après tout ? Nous ne le reverrons probablement jamais, j’ai prise mon pied encore une fois et là est le plus important ! Je ne changerais plus j’aime être baisée par des inconnus. Maître j’espère que vous ne me tiendrais pas rigueur de cette aventure, dont vous ne pouviez être au courant puisque cela s’est passé « comme ça » au retour d’une soirée entre amis. Merci à mon Chéri, et à cet auto stoppeur qui était au bon endroit, au bon moment. sOumise célia |
Ma soirée Pizza.
Ce soir là, j étais seule à la maison, mon mari et mon fils étaient partis au football.
Je n'avais pas envie de cuisiner et décidai tranquillement de me commander une pizza.
Je téléphone donc, et ils me répondent qu'ils seront la d'ici 1/2 heure.
Cela me laisse le temps de prendre ma douche, de sécher mes cheveux et de passer ma nuisette.
Je mis la télé en route en attendant le livreur.
5 minutes plus tard on sonnait à la porte.
J'ouvris et me retrouvai devant un petit jeune de 15 ans de moins que moi au moins, très mignon.
"Bonsoir M'dame vous avez commandée une pizza ?" me dit il.
Oui combien vous dois je ?
12 euros M'dame
Je lui dis d'entrer dans le hall, que j'arrivais, mon sac était dans le hall un peu plus loin.
Je me penchais (sans réfléchir qu'il était derrière moi) fouilla dans mon sac, et là ...
L'horreur, mon mari avait pris tout mon argent, la, j'étais pas bien.
Je me retournais vers le livreur (que j'avais remarqué le teint plus rouge)
lui demandais ce qui se passait, si il avait un coup de chaleur, il me répondit ,
"Madame je suis désolé mais en vous penchant dans votre sac ...il ne du pas continuer.
J'avais compris.
Je lui dis que j'étais désolée mais que mon mari avait pris mes sous sans me prévenir.
Je lui demandais si il serait d'accord de passer demain pour prendre les sous.
Mais il refusa. Je lui dis mais comment régler la situation.
Et là, tout de go ! il me dit que ça irai avec une petite gâterie.
Je lui dis Comment ? Mais mon garçon tu pourrais être mon fils lui dis je.
Et alors, vous payez ou pas ?
Je me sentais prise au piège, et puis dans le fond il était mignon :) et c'est quand même mon mari
qui m'avais mise dans cette situation.
Bon d'accord entre et déposes ça là.
Mais on a bien dis une petite gâterie !
Oui Madame, une a 12 euros, tu perd pas le nord lui dis je, allez baisse ton froc
Ni une, ni deux il se retrouvait la quéquètte à l'air.
Je la pris en mains la mettait en forme et puis le suça quelques minutes.
Il n'en fallu pas plus qu'il me dit qu'il allait jouir.
Le temps d'attraper un essuie et hop tout était dedans.
Il me remercia et là au moment de partir je lui dit, ah non !
Ca ne va pas allez comme ça.
Qu'y a t-il me demanda t il ?
Je lui dis que j'avais commandée une pizza chaude et que celle ci était froide.
On se mit à rire tous les 2.
Il me dit pas de soucis Madame, je vous en ramènes une dans 20 minutes.
Je lui dis d'accord mais que je n'avais toujours pas de sous, et que bon une fois
Ca allait mais que je recommencerais pas .Il me répondit qu'il n'y avait pas de problème
Car ce que je lui avait fait valait bien 24 euros. Rires de nouveau.
1/2 Heure plus tard, on sonna à la porte, il était de retour, et entra directement dans la maison.
Je lui déjà là, oui M'dame, j'ai fini mon service, et je me suis demandé si nous pourrions manger ces pizzas ensemble ?
Je réfléchis un instant et lui dit pourquoi pas, il n'y a quand même rien à la télé.
Nous commencions à manger, nous parlions de chose et d'autres, il me demanda si cela m'arrivait souvent ce genre d'aventures je lui dit que non que c' était la première fois.
J'étais toujours en nuisette et à la fin du repas et 1 bouteille de vin (important ça lol) il me demanda si il pouvait voir mes seins, juste les regarder, j'hésitai, mais je relevais ma nuisette et la il vit mon string avant de voir mes seins. Il devenait tout rouge, je lui dit tu veux les toucher ?
Je peux ? Vraiment ? Me demanda t il, il était tout fou.
Il m'avait donnée envie le p'tit con, il me caressa les seins avec une telle douceur que je ne pu résister a pousser sa tête entre mes 2 seins.
Je l'entraînais vers le fauteuil .....
Et là vous imaginez bien ce qu’il arriva ............
Célia
Je mérite ma punition, quelques images pour vous.
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